Darius le Grand décida que la nécropole des rois achéménides devait être située à quelques kilomètres de Persépolis. Il choisit le site de la falaise de Naqsh-e Rostam (également Naqsh-i Rustam), où se trouvaient déjà quelques vestiges élamites, comme la maison de grandes tombes taillées dans la paroi rocheuse verticale. Plutôt que de créer un mausolée en forme de maison, comme celui de Cyrus le grand à Pasargades, il modifia totalement la formule architecturale en créant des tombes colossales directement sculptées dans le flanc de la montagne, visibles de très loin.

Naqsh-e Rostam Chiraznécropole de Naqsh-e Rostam, Iran

Naqsh-e Rostam présente une grande paroi rocheuse naturelle, une barrière imposante qui délimite le paysage sur des centaines de mètres. Sur ce site grandiose, renouant avec la tradition des tombes rupestres — à l’image du sépulcre mède de Kizkapan avec ses colonnes encastrées et ses chapiteaux à volutes « ioniques », imitant un palais et ornés d’un bas-relief représentant un rituel du feu zoroastrien — les rois achéménides commandèrent la création de façades sculptées étonnantes. Ces façades, dont la forme en croix se distingue dans les creux de la roche, sont disposées en trois registres. Le centre est occupé par un élément rectangulaire transversal reproduisant la façade d’un palais : quatre colonnes encastrées, dont les chapiteaux sont formés de taureaux à deux têtes, couronnent une seule entrée. Le linteau de cette entrée est surmonté d’une cimaise de style égyptien, tandis que la partie supérieure est décorée d’un « volet roulant » en pierre, partiellement abaissé. Séparée par une frise denticulée, la partie supérieure présente un grand bas-relief carré, dont la section inférieure montre 28 porteurs — symbole des nations sous domination persane — alignés sur deux niveaux, tel des atlantes soutenant la litière officielle du roi. Au-dessus, le roi, en position debout, tient l’arc emblématique et effectue un sacrifice rituel devant un autel du feu, sous l’image de Faravahar, émergeant au centre du disque solaire soutenu par des ailes de vautour ou d’aigle. Quant à la partie inférieure de l’élément sculpté, les sculpteurs persans qui ont réalisé ce bas-relief ont laissé la surface de la paroi vierge, telle une plage silencieuse, en face du tombeau.

Les tombes sculptées dans le roc mesurent au moins 22 mètres de hauteur et sont situées bien au-dessus du niveau du sol, afin de prévenir toute infraction. À l’intérieur, après avoir franchi la porte située en hauteur, accessible uniquement par des échelles amovibles, le visiteur découvre un couloir intérieur rectiligne parallèle à la façade, qui dessert trois chambres suffisamment vastes pour abriter plusieurs sarcophages destinés au roi et à sa famille.

À lire : Guide complet de Persepolis

 

A voir a naqsh-e Rostam

Naqsh-e Rostam est un site archéologique impressionnant où se trouvent les tombes royales des grands rois achéménides, taillées directement dans la roche. On y découvre des façades monumentales sculptées dans la paroi rocheuse, notamment celle de Darius le Grand, avec des bas-reliefs représentant des scènes symboliques telles que le roi accomplissant un sacrifice rituel sous l’image du Faravahar. Le site abrite également des vestiges plus anciens, comme des œuvres élamites, et se distingue par sa majestueuse paroi rocheuse naturelle qui domine le paysage. Les tombes, haut perchées sur la montagne pour éviter toute profanation, sont accessibles uniquement par des échelles amovibles. Ce lieu grandiose, qui combine traditions architecturales et rituels royaux, est un témoignage impressionnant de la puissance et de la grandeur de l’Empire perse.

 

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Les tombes achéménides

Les tombes sculptées dans le roc mesurent au moins 22 mètres de hauteur et sont situées bien au-dessus du niveau du sol, afin de prévenir toute infraction. À l’intérieur, après avoir franchi la porte située en hauteur, accessible uniquement par des échelles amovibles, le visiteur découvre un couloir intérieur rectiligne parallèle à la façade, qui dessert trois chambres suffisamment vastes pour abriter plusieurs sarcophages destinés au roi et à sa famille.

La première tombe de ce type, réalisée pour Darius le Grand (522-486 av. J.-C.), est située au centre de la paroi rocheuse. À gauche, avec la même forme et la même taille, se trouvent les tombes de Xerxès (486-465 av. J.-C.) et d’Artaxerxès Ier (465-424 av. J.-C.), tandis qu’à droite se trouve la tombe de Darius II (423-404 av. J.-C.).

 

Nations sous le contrôle des Achéménides

Les nationalités mentionnées dans l’inscription de Darius sont également représentées sur les registres supérieurs de toutes les tombes de Naqsh-e Rustam, à commencer par celle de Darius Ier. Les ethnies figurant sur la tombe de Darius portent en outre des étiquettes trilingues pour leur identification, collectivement connues sous le nom d’inscription ADN. L’une des frises les mieux conservées est celle de Xerxès Ier. Les nationalités des satrapies représentées sur les panneaux supérieurs des tombes et également mentionnées dans l’inscription de Darius, de gauche à droite : Makan, Perse, Médie, Élamite, Parthe, Arian (Bactrienne), Sogdienne, Choresmienne, Zarangienne, Arachosienne, Sattagydienne, Gandharienne, Hindush (Indien), Saka (Haumavarga), Saka (Tigraxauda), Babylonienne, Assyrienne, Arabe, Égyptienne, Arménienne, Cappadocienne, Lydienne, Ionienne, Saka au-delà de la mer, Skudrienne (Thrace), Macédonienne, Libyenne, Nubienne, Carienne.

Ethnicite a naqsh-e Rostam

 

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Kaaba-i Zartusht

À l’extrémité gauche de la falaise de Naqsh-e Rostam se dresse une tour carrée de 7 mètres de côté (22,9 pieds) et 11 mètres de hauteur (36 pieds), que les musulmans appellent la Ka’aba-i Zartusht, ou la Kaaba de Zoroastre. Cette construction se distingue par des maçonneries en pierre calcaire élégantes, mettant en valeur une subtile alternance de creux et de saillies qui rythment les murs, tandis que de fausses fenêtres en pierre créent de forts contrastes visuels.

Les spécialistes ne s’accordent pas sur la fonction de cet édifice, auquel on accède par un escalier en saillie menant à une porte située à mi-hauteur de la structure. Certains y voient un temple du feu, d’autres l’interprètent comme une « bibliothèque abritant les textes de l’Avesta » (l’écriture sacrée des Zoroastriens), tandis que d’autres encore considèrent qu’il s’agissait d’un tombeau temporaire destiné à accueillir le corps jusqu’à la construction d’un tombeau approprié. Il est intéressant de noter qu’un édifice similaire existait déjà à Pasargades, construit avec les mêmes techniques de maçonnerie, mais le rôle exact de cette structure demeure mystérieux.

Kaaba de Zoroastre, Naqsh-e Rostam

Pour conclure cette réflexion sur les tombes royales, il est important de mentionner que les derniers rois achéménides, Artaxerxès II (404-358 av. J.-C.) et Artaxerxès III (358-338 av. J.-C.), choisirent de bâtir leurs tombes directement au-dessus des palais de Persépolis, dans la roche du mont Kuh-i Rahmat, tandis que la tombe de Darius III (335-330 av. J.-C.), défait par Alexandre le Grand, n’a jamais été achevée.

 

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Bas-reliefs sassanides

Les Sassanides, qui se considéraient comme les dignes successeurs des Achéménides, renouèrent avec l’art de la gravure rupestre pour immortaliser les événements les plus marquants de leur histoire.

Près de huit siècles après la fondation de Naqsh-e Rustam, les monarques sassanides Ardachir Ier et son fils Shapur Ier commandèrent des panneaux rupestres consacrés à leur gloire. Reprenant le principe achéménide, ils firent exécuter leurs œuvres dans des sites prestigieux. Ainsi, sur la falaise de Naqsh-e Rustam, au pied des grands tombeaux achéménides de Darius Ier, Xerxès, Artaxerxès Ier et Darius II, les Sassanides sculptèrent des bas-reliefs illustrant leurs scènes d’investiture ou de triomphe.

 

  • L’investiture d’Ardachir Ier

Ardachir Ier, qui initia le principe de continuité politique entre les Achéménides et les Sassanides, avait déjà glorifié sa victoire sur le roi arsacide (parthe) Artaban V à travers une imposante fresque taillée dans la roche à Firuzabad, représentant une scène de bataille animée.

Sur le bas-relief de Naqsh-e Rustam, nous retrouvons Ardachir Ier dans une scène d’investiture équestre. Ahura Mazda, le dieu zoroastrien, également à cheval et représenté à la même échelle que le roi, lui remet l’anneau du pouvoir, le Deihim. Les deux figures montées piétinent les cadavres de leurs ennemis respectifs : d’un côté, Artaban V, le roi parthe vaincu, et de l’autre, Ahriman, l’esprit du Mal.

L’investiture d’Ardachir Ier naqsh-e RostamL’investiture d’Ardachir Ier, Naqsh-e Rostam , Iran

 

  • La scène de la capture de l’empereur Valérien

À Naqsh-e Rustam, l’un des bas-reliefs les plus emblématiques de l’ère sassanide représente la victoire éclatante de Shapur Ier (241-272 apr. J.-C.) sur l’Empire romain. Ce relief illustre un épisode marquant de l’histoire antique : la capture de l’empereur romain Valérien en 260 apr. J.-C., un événement sans précédent qui humilia Rome et consacra la puissance des Sassanides.

Dans cette composition sculpturale, Shapur Ier est représenté majestueusement à cheval, dominant la scène. Face à lui, l’empereur Philippe l’Arabe, vaincu, est agenouillé en signe de soumission. Derrière Philippe, Valérien, debout mais désarmé, tend les bras dans un geste de reddition, symbolisant l’humiliation de Rome et l’affirmation de la suprématie perse. Shapur Ier, coiffé de sa couronne ornée, incarne le triomphe du pouvoir sassanide.

Ces victoires décisives de Shapur Ier s’inscrivent dans le long conflit opposant les Perses et les Romano-Byzantins, une rivalité qui perdura plusieurs siècles. La capture de Valérien reste l’un des moments les plus marquants de cette lutte, car jamais auparavant un empereur romain en exercice n’avait été fait prisonnier sur le champ de bataille. Cette défaite affaiblit durablement Rome et renforça l’aura des Sassanides, qui surent exploiter leur succès pour affermir leur domination sur l’Orient.

Ce bas-relief, chef-d’œuvre de la sculpture sassanide, témoigne non seulement de la puissance militaire perse, mais aussi de la volonté des souverains sassanides de graver leurs exploits dans la pierre, inscrivant ainsi leur gloire dans l’éternité.

 

capture de l'empereur Valérien naqsh-e Rustamcapture de l’empereur Valérien, Naqsh-e Rostam

 

  • La scène d’investiture du roi sassanide Narseh (vers 293-303)

Ce bas-relief, situé à Naqsh-e Rustam, représente le roi Narseh recevant l’anneau du pouvoir royal (diadème) des mains d’une figure féminine. Traditionnellement, cette dernière a été identifiée comme la déesse Anahita, divinité associée à l’eau, à la fertilité et à la protection des souverains. Cette interprétation repose sur le rôle central qu’Anahita jouait dans la légitimité du pouvoir royal dans la tradition zoroastrienne.

Cependant, une observation plus approfondie de la scène a conduit certains chercheurs à remettre en question cette hypothèse. Contrairement aux représentations habituelles des investitures divines, Narseh ne manifeste pas une attitude de révérence ou de soumission en présence de la figure féminine. Son posture, ainsi que la relative égalité de stature entre les deux personnages, suggèrent plutôt une interaction entre deux membres de la famille royale.

À la lumière de ces indices, des études plus récentes ont proposé une autre interprétation : la femme représentée pourrait être une reine, possiblement Shapurdokhtak, l’épouse de Narseh. Cette hypothèse met en avant l’importance des reines sassanides dans la légitimation du pouvoir royal et souligne leur rôle prééminent au sein de la dynastie.

Ainsi, ce bas-relief illustre non seulement un moment clé de l’accession au pouvoir de Narseh, mais aussi la complexité des représentations royales dans l’art sassanide, où se mêlent symbolisme divin et affirmation du rôle politique des souveraines.

 

investiture du Narseh a naqsh-e rostaminvestiture du Narseh, Naqsh-e Rostam

 

  • Inscription de Darius à Naqsh-e Rustam

Une inscription attribuée à Darius le Grand, est gravée dans l’angle supérieur de son tombeau rupestre à Naqsh-e Rustam. Dans ce texte, Darius évoque ses victoires, ainsi que les grandes réalisations de son règne. Sa date exacte demeure incertaine, mais elle est généralement estimée aux dernières années de son règne.

Comme dans plusieurs autres inscriptions de Darius, les territoires placés sous l’autorité de l’Empire achéménide sont clairement énumérés. Parmi eux, on retrouve notamment les régions de l’Indus et du Gandhara, situées dans l’actuelle Inde et mentionnant ainsi l’expansion achéménide dans la vallée de l’Indus.

 

Inscription de Darius à Naqsh-e Rustam

Voici un extrait de cette inscription :

« Ahuramazda est un grand dieu, qui a créé cette terre, qui a créé le ciel, qui a créé l’homme, qui a créé le bonheur pour l’homme, qui a fait de Darius le roi, un roi parmi tant d’autres, un seigneur parmi tant d’autres.

Je suis Darius, le grand roi, roi des rois, roi des pays rassemblant toutes sortes de peuples, roi régnant au loin sur cette vaste terre, fils d’Hystaspes, un Achéménide, un Perse, fils d’un Perse, un Aryen, issu d’une lignée aryenne.

Le roi Darius déclare : Par la grâce d’Ahuramazda, voici les territoires que j’ai conquis en dehors de la Perse ; j’ai régné sur eux, ils m’ont rendu hommage, ils ont obéi à mes ordres et respecté mes lois : Médie, Élam, Parthie, Arie, Bactriane, Sogdiane, Chorasmie, Drangiane, Arachosie, Sattagydie, Gandhara [Gadâra], Inde [Hiduš], les Scythes buveurs de haoma, les Scythes aux bonnets pointus, Babylone, Assyrie, Arabie, Égypte, Arménie, Cappadoce, Lydie, les Grecs [Yauna], les Scythes d’outre-mer [Sakâ], Thrace, les Grecs portant le petasos [Yaunâ], les Libyens, les Nubiens, les habitants de Maka et les Cariens.

Le roi Darius dit : Ahuramazda, voyant cette terre en désordre, me l’a ensuite accordée et m’a fait roi. Par sa grâce, j’ai rétabli l’ordre ; ce que j’ai ordonné a été accompli, selon mon désir.

Si vous vous demandez : ‘Quels sont les territoires sur lesquels le roi Darius exerçait son pouvoir ?’, regardez les sculptures représentant ceux qui portent mon trône. Alors vous comprendrez : la lance d’un Perse s’est étendue au loin ; alors vous saurez qu’un Perse a mené la bataille bien loin de la Perse.

Le roi Darius dit : Tout ce qui a été accompli, je l’ai fait par la volonté d’Ahuramazda. Ahuramazda m’a soutenu jusqu’à l’achèvement de mon œuvre.

Puisse Ahuramazda me protéger du mal, ainsi que ma maison royale et cette terre : je prie Ahuramazda de m’accorder cette faveur !

Ô homme, respecte l’ordre d’Ahuramazda, ne t’en détourne pas ; ne quitte pas le droit chemin et ne te révolte pas ! »

Liens possibles avec les tombes lyciennes

Les tombes lyciennes et cariennes taillées dans la roche présentent des similitudes intéressantes qui soulèvent la question d’une influence mutuelle ou d’un phénomène culturel partagé dans ces deux régions du sud-ouest de l’Anatolie, particulièrement après l’incorporation de ces territoires dans l’Empire perse.

L’une des premières relations possibles réside dans le processus de l’influence persane, qui s’étend sur ces régions au milieu du VIe siècle avant J.-C., notamment après la conquête de la Carie et de la Lycie par les Perses. Il est probable que les Perses, maîtres de vastes territoires, ont introduit de nouvelles pratiques funéraires, notamment les tombes taillées dans la roche, comme on en trouve à Kaunos, un site qui a été partiellement détruit lors de la conquête perse en 546 av. J.-C. Ces tombes se distinguent par leur architecture monumentale, souvent imitant des façades de temples, un style que l’on retrouve également dans les régions lyciennes et cariennes.

 

tombes lyciennes

En particulier, à Kaunos, les tombes taillées dans la falaise, avec leurs façades monumentales, rappellent celles de la région lycienne. À Myra (Demre) et à Telmessos (Fethiye), en Lycie, des structures similaires ont été observées, souvent datées du Ve siècle av. J.-C., ce qui correspond à l’époque de domination perse dans la région. Bien que la datation exacte reste incertaine, il est plausible que ces tombes aient été influencées par des modèles architecturaux perse, qui utilisaient déjà des techniques de creusement dans la roche et des façades décorées.

L’élément particulièrement significatif de cette époque est la présence de scènes funéraires sculptées, telles que celles de Myra, où un bas-relief représente un banquet en l’honneur du défunt, une pratique funéraire assez commune dans le monde grec et qui semble se répandre dans les régions sous influence perse. Les scènes de banquets funéraires sont un motif récurrent, souvent interprété comme un moyen de célébrer la vie après la mort, en permettant au défunt de participer à un festin éternel.

En ce qui concerne l’architecture, les façades sculptées à l’image du temple grec ionique, notamment à Antiphellos et Kaunos au IVe siècle av. J.-C., montrent un mélange des styles locaux et des influences extérieures, particulièrement grecques et perses. Cette évolution stylistique souligne un syncrétisme culturel qui pourrait découler de l’interaction entre les différents peuples et leurs coutumes funéraires, notamment les Perses et les Grecs, tout en restant fidèle aux traditions locales.

Ainsi, les tombes lyciennes et cariennes, bien que distinctes, semblent partager un héritage commun sous l’influence de l’Empire perse, avec des variations locales qui montrent comment des éléments de l’architecture funéraire persane et grecque ont été adaptés dans ces régions montagneuses et côtières. L’existence de tombes taillées dans la roche avec des motifs sculptés et des décorations de type grec évoque une époque où les échanges culturels et les influences extérieures étaient particulièrement significatifs dans la région.

 

Ces tombes lyciennes taillées dans la roche dans la falaise de Telmessos étaient soit calquées sur les façades des maisons en bois locales, soit imitées des temples grecs classiques.

La falaise qui domine le site de Myra (Demre) est littéralement percée de tombes qui ressemblent à des maisons du Ve siècle avant J.-C. à charpente de bois. Cet art rupestre pourrait-il être lié aux tombes persanes ?

 

Comment se rendre a Naqsh-e Rostam?

Pour se rendre à Naghsh-e Rustam, situé près de la ville de Chiraz en Iran, il faut d’abord se rendre à Chiraz, qui est accessible en avion, train ou bus depuis diverses grandes villes iraniennes. Une fois à Chiraz, il faut prendre la route vers le nord-ouest pendant environ 5 à 6 kilomètres. Naghsh-e Rustam est situé près de la ville antique de Persépolis, dans la vallée de Marvdasht. Vous pouvez facilement accéder au site en voiture ou en taxi depuis Shiraz. Les panneaux indicateurs sur la route vous guideront vers ce site historique, célèbre pour ses tombes royales taillées dans les falaises et ses anciennes structures perses.